Pour ne plus répéter les mêmes erreurs dans sa vie

Avez-vous conscience de répéter souvent les mêmes erreurs dans tous les pans de votre vie, malgré votre envie de ne plus recommencer ? Ce qui pourrait s’appeler la Répétition inconsciente des comportements. Sachez cependant que vous pouvez arrêter cette répétition.

Pourquoi les erreurs se répètent-elle ?

La principale raison est que l’inconscient cherche par tous les moyens une issue à la souffrance. Chaque souffrance vécue dans vos premières expériences d’enfant s’ancre dans l’inconscient. Chaque blessure, chaque croyance limitante, chaque angoisse crée ce qui est appelé un circuit neuronal : un lien entre les neurones via des synapses. Ces réseaux neuronaux sont dans l’inconscient, que l’on pourrait aussi être appelé l’automate. Ils vous font agir, constituent la base de nos apprentissages conscients et inconscients, positifs et négatifs.  Vous êtes alors rarement conscients de vos répétitions. Vous espérez chaque fois que ce sera différent sans réaliser que non, l’issue sera probablement la même parce que c’est ce que vous avez enregistré au plus profond de vous-même.

Circuit neuronal

En effet vous êtes régis en moyenne à 95% par votre inconscient. Vous créez alors votre propre destin, ce que vous pourriez qualifier de malchance ou de prédestination. Votre inconscient vous pousse à créer, ou plutôt à recréer des situations qui reproduisent à l’infini le scénario de nos premiers conflits infantiles, ou celui des traumatismes dont vous avez été victimes.

Heureusement vous ne répétez pas tout. La répétition ne s’enclenche qu’à partir d’évènements ou de situations de vie impossibles à comprendre, qui ne font pas sens dans vos ressentis.

Ces erreurs peuvent se répéter dans tous les domaines de votre vie, qu’ils s’agissent d’échecs amoureux ou professionnels, de blessures de rejet, d’abandon. Ou encore de problèmes financiers, d’harcèlement moral, de violence, de difficultés à s’engager, à faire des choix, d’états dépressifs, de sentiments de culpabilité, … La liste peut être longue.

Comment se libérer de vos schémas répétitifs ?

Afin de vous libérer de ces schémas répétitifs, il va être important de comprendre quel en est la cause. Et surtout d’admettre que vous êtes à l’origine de cette situation même si c’est de manière inconsciente. La phase de compréhension, d’acception est incontournable car vous mettez de la conscience sur vos fonctionnements.

Alors une des clés est de commencer des apprentissages différents. Apprenez à vivre autrement, à expérimenter d’autres comportements en créant du positif. Mettez en place des stratégies appropriées pour ne plus subir et répéter vos erreurs.

Il faut alors, souvent à l’aide d’un thérapeute, identifier les causes profondes, sortir de vos projections, revoir vos croyances, apprendre à recevoir de l’amour ou de la reconnaissance.

Cependant, comme ses schémas sont engrammées dans l’inconscient, les identifier, initier un comportement différent, positif n’est souvent pas suffisant. L’inconscient est comme un ordinateur, il ne suffit pas de dire « je vais changer », d’essayer de le faire. Il faut changer la programmation, le logiciel.

Une méthode efficace pour « changer le logiciel » qui ne vous convient plus est l’hypnose. En effet, en état de conscience modifiée, l’accompagnant est directement en contact avec votre inconscient.

Je pratique l’hypnose humaniste qui permet d’aller travailler rapidement et en profondeur sur vos programmations inconscientes. Après un long temps d’échange pour identifier l’origine de vos schémas répétitifs, l’hypnose permet de vous en libérer et retrouver confiance en vous tout en restant conscient et en dialoguant avec moi pendant toute la séance.

Si ces schémas sont issus de traumatismes importants, j’utilise la méthode DECEMO (Déprogrammation des Chocs Émotionnels), prolongement de l’EMDR pour libérer les souvenirs traumatiques de leur charge émotionnelle.

Et vous pourrez sortir de ces situations en quelques séances, même si cela parait inimaginable. Et ainsi vous pourrez transformer votre vie et même la recréer.

Apprenez à gérer votre colère

La colère est une émotion naturelle. Souvent perçue comme négative, elle peut pourtant être utile. Apprenez à gérer votre colère, la considérer, à la rediriger sans pour autant l’étouffer, et à  la transformer.

La colère est une émotion qui peut nous détruire si nous ne la maîtrisons pas.

Thich Nhat Hanh

Comportements face à la colère

Et donc face à cette émotion, vous pouvez adopter différentes attitudes.

Vous sortez cette colère. Mais si vous explosez de rage ou vous ne trouvez que la colère pour réagir aux événements, alors vous faites souffrir ceux qui vous entourent. Et si ces excès de colère se répètent, vous pouvez même vous trouver de plus en plus seul.

Autre attitude, vous contenez votre colère et vous bouillonnez intérieurement. L’émotion n’est donc pas évacuée. Votre système nerveux réagit avec des effets tels qu’une pression artérielle élevée,  des tensions musculaires. Des symptômes dommageables pour votre santé.

Que ce soit en exprimant pleinement votre colère ou en la refoulant, une mauvaise gestion de cette émotion de colère peut nuire à votre santé et à vos relations aux autres ou avec vous-même. Il est donc important d’apprendre à gérer vos émotions et à réussir à exprimer sa colère en évitant les extrêmes.

Elle vous permet de vous affirmer, de mieux vous connaître en essayant de trouver les causes profondes.

Colère

Exprimez ce que vous ressentez 

  • Parlez de votre propre souffrance, de votre propre malaise, votre sentiment et de ne pas parler de l’autre. Il s’agit d’expliquer comment vous comprenez le problème et
  • Ensuite demandez un changement de comportement, en expliquant l’importance que vous y attachez et terminez par la question spécifique « Vas-tu le faire ? « 

Apprenez à vous apaiser

Dès le moment où vous reconnaissez les prémisses de la colère, vous pouvez agir rapidement pour composer avec elle avant qu’elle soit hors de contrôle. Il existe plusieurs techniques qui peuvent vous aider à vous apaiser. Pour vous calmer rapidement :

  • Focalisez votre attention sur les sensations physiques de la colère. En effet, porter votre attention sur ce que vous ressentez dans votre corps lorsque vous êtes en colère peut diminuer l’intensité émotionnelle de la colère.
  • Prenez quelques respirations profondes. Une respiration lente et profonde aide à diminuer la tension physique. Respirez lentement en étant complètement présent à votre respiration, remplissez au maximum vos poumons d’air et visualisez votre colère partir en expirant. Vous pouvez également faire une cohérence cardiaque en maintenant votre pensée au niveau du cœur.
  • Faites de l’exercice, fatiguez-vous ! Sortez marcher autour de chez vous et si possible dans la nature. Cela va augmenter votre taux d’endorphine, calmant et euphorisant naturel, et vous pourrez revenir dans la situation avec l’émotion de colère atténuée.
  • Étirez ou massez les zones de tension. Roulez les épaules si elles sont tendues, ou encore massez ou tapotez gentiment votre nuque, votre tête ou votre visage.
  • Pratiquez Ho’oponopono d’abord au niveau mental, puis petit à petit faites descendre au niveau du cœur : « Désolé.e, Pardon, Merci, Je vous aime ».

Celui qui est capable de maîtriser fermement la colère comme on maîtrise un attelage de coursiers, celui-là est un véritable conducteur de char, les autres ne font que tenir des rênes.

Bouddha

Identifier les éléments déclencheurs

Une fois apaisée, essayez de comprendre ce qui vous a mis en colère. Les raisons peuvent être différentes selon les personnes.

Les valeurs non respectées provoquent souvent un sentiment de rage. Par exemple, une de vos valeurs est le respect. Si vous êtes confronté à des personnes qui ne vous respectent pas (en conduite, dans leur geste, …), vous pouvez alors ressentir une colère émergée. Les valeurs, différentes d’une personne à une autre peuvent être identifiées en séance de coaching.

Les paroles blessantes qui touchent une de vos faiblesses peuvent également provoquer ce sentiment. N’avez-vous jamais dit : « il n’y a rien que la vérité qui fâche ! ». Vous pouvez alors travailler sur cette faiblesse par des séances d’hypnose ou autres méthodes pour la transformer.  

Gérer votre colère vous permet d’être plus conscient de vos réactions, de détecter leurs causes profondes. C’est en vous observant, en identifiant votre manière de réagir au contexte, aux paroles blessantes de l’autre, que vous pourrez changer. Et aujourd’hui les neurosciences sont en train de prouver qu’il est toujours possible de s’améliorer.

Devenez responsable de la qualité de votre vie

Il est bien plus facile de rejeter la faute sur les autres, de fuir sa part de responsabilité. Cependant, il y a tant à gagner de devenir responsable de sa vie.

Chacun traverse durant sa vie des périodes difficiles, des moments de crise ou de souffrance plus ou moins intenses. En revanche, la différence entre les personnes vient de la façon dont ils choisissent de réagir face aux épreuves de la vie.

En effet, vous êtes à 100% responsable de la manière d’agir et de ressentir quelles que soient les drames, les difficultés ou les changements que vous traversez.

Par exemple, vous vous trouvez confiner suite à une décision gouvernementale. Est-ce que vous êtes dans la peur ou la colère ? Ou simplement, vous accueillez cet arrêt de la course de la vie comme un cadeau pour profiter de chez vous, pour vous accorder une heure de marche par jour, pour peut-être faire tout ce que vous n’aviez pas le temps de faire.

Comment assumer  la responsabilité de votre vie ?

Tout d’abord, commencez à être plus conscient de vos pensées, de vos actions et de vos réactions face à diverses situations de la vie courante. Cela vous permettra de devenir petit à petit plus responsable. Une personne vous agresse verbalement dans la rue : répondez-lui sur le même ton ou prenez-vous du recul en vous disant qu’elle doit être mal pour réagir de cette façon ?

Ensuite, évitez de vous rendre coupable même si vous avez pris la mauvaise décision. Au moment où vous avez fait un choix, aviez-vous toutes les informations nécessaires pour prendre la bonne décision. Rappelez-vous la citation de Nelson Mandela « Je ne perds jamais. Soit je gagne, soit j’apprends« . Tirez donc des leçons de votre choix.

Le 4ème accord toltèque « fais de ton mieux » est une clé pour diminuer cette culpabilité potentielle même si vous n’avez pas réussi selon les normes définies par vos proches, par la société.

Pour devenir responsable de votre vie, vous devez sortir du rôle de victime. Devant chaque situation, n’accusez personne et essayez  plutôt de comprendre votre part de responsabilité. Pour cela, prenez de la hauteur, du recul sur la situation pour ne pas vous laisser envahir émotionnellement.

Changer votre champ

La loi d’attraction peut se résumer à « tout semblable attire son semblable ». Vous attirez donc le plus souvent inconsciemment tout ce que vous vivez : votre conjoint, votre travail, vos amis, … Et ce, par vos pensées, vos croyances, vos blessures. Tout ce que vous avez vécu, ce que vous vivez est inscrit dans un champ vibratoire autour de vous. Si par exemple, un enfant a un de ses parents violent, adulte il pourra attirer un conjoint ou un ami violent car inconsciemment, il a pu s’inscrire via ses réseaux neuronaux, une croyance telle que l’amour était violence.

Pour modifier ces informations, il est important de déprogrammer vos croyances erronées non seulement en en prenant conscience mais également en travaillant sur votre inconscient par des méthodes telles que l’hypnose, l’EFT, la méthode DECEMO, …

Ainsi vous passez de l’état de coupable ou de victime et vous devenez acteur. En travaillant sur vos croyances, vos schémas répétitifs, vous attirez d’autres situations, d’autres personnes qui sont plus adéquation avec votre moi profond. Vous devenez alors créateur de votre vie.

Voyez-vous la vie comme un verre à demi-plein ou à demi-vide ?

Voir le verre à moitié plein apporte une vision optimiste de la vie. En revanche, voir le verre à demi vide procure une  représentation plus pessimiste. Vous pouvez donc avoir une vision opposée du monde selon si vous êtes plutôt pessimiste et optimiste. Alors quelle est la meilleure approche ? Quels les avantages et les inconvénients de chacune de ces visions.

La plus grande différence entre ces deux approches porte sur la façon dont vous appréhendez un problème ou une difficulté. 

Verre demi plein ou demi vide
Verre demi plein ou demi vide ?

Êtes-vous plutôt pessimiste ?

C’est-à-dire voyez-vous davantage le verre à moitié vide ? Est-ce que vous dites régulièrement « ça ne marchera pas ou ça n’a jamais marché pour moi », « je ne peux pas », « c’est compliqué »

Alors vous avez tendance à être plutôt pessimiste. Vous observez surtout le côté négatif d’une situation. Vous vous inquiétez des dangers potentiels et vous pouvez même avoir peu d’espoir sur le futur.

Lorsqu’une situation difficile apparaît, vous avez plutôt tendance à rester passif.ve ou même à l’aggraver.

Attention, rien n’est blanc ou noir. Cette vision pessimiste vous permet d’évaluer plus en profondeur une situation, d’en voir les risques éventuels et de mieux les gérer. Vous êtes plus prévisible face à des obstacles et vous pouvez donc vous en protéger.

Êtes-vous plutôt optimiste ?

Vous voyez davantage le côté positif des événements, des personnes, des situations. Vous avez développé la pensée positive.

Face à des difficultés, vous essayez de détecter les avantages, les solutions et vous êtes alors plus armé.e pour les surmonter. Vous ne perdez pas espoir et vous avez tendance à être confiant.e et à avoir espoir en l’avenir.

Cette version positive de la vie est utile lors d’une période de transition, vous êtes moins stressé.e. Vous avez moins de risque d’entrer en dépression.

Cependant il y a aussi des inconvénients à ne regarder que le verre à demi-plein. Effectivement, cet excès de confiance en la vie, en les gens peut vous amener à prendre des décisions imprudentes.

D’autre part, le regard positif sur de la souffrance peut même aller jusqu’à vouloir ignorer ses sentiments. Or toute réaction émotionnelle doit être accueillie, acceptée et non enfouie.

État d'esprit positif

La meilleure solution : un état d’esprit positif

Un état d’esprit positif renforce votre confiance en vous. Cela signifie que vous croyez en vous et en vos capacités. Dans cet état d’esprit, vous n’ignorez cependant pas les obstacles. Vous sentez que vous êtes capables de les surmonter. Quelles que soient les circonstances, vous êtes prêt.e à faire de votre mieux.

Pour développer cet état d’esprit positif, il est nécessaire de voir chacune des situations difficiles de plusieurs façons.

Tout d’abord, d’un point de vue émotionnel pour comprendre ce que à quoi cette situation vous fait écho. Quels sont vos besoins à satisfaire, quelles peurs avez-vous éveillé ? Ces peurs, ces besoins sont souvent liés à des croyances dites limitantes. Donc pour atteindre cet état, il est important de déprogrammer toutes ces croyances avec des méthodes telles que l’hypnose, l’EFT, …

Une autre façon positive de regarder les situations désagréables est d’en tirer les leçons. Qu’est-ce que cette expérience vous a apporté ? Et ainsi, vous pourrez établir de nouvelles solutions au cas où vous rencontriez des situations similaires.

Conclusion

Bien que parfois utile, être trop pessimiste peut s’avérer nuisible, ne serait-ce pour votre bien-être. À l’opposé, ne voir que le verre à demi-plein permet de surmonter plus facilement des épreuves mais cela peut également vous conduire à faire des erreurs.

La juste position est cet état positif qui permet d’accepter toutes les situations et les examiner sous tous ses angles afin d’en tirer des axes d’amélioration, d’identifier vos faiblesses et d’y remédier.

Apprendre de ses erreurs, un véritable challenge !

Apprendre de ses erreurs est un véritable challenge qui ne peut que vous faire grandir. Tout parcours d’une vie est bien souvent jonché de déboires, d’échecs et d’erreurs.

Comme l’a si bien dit Nelson Mandela dans cette célèbre citation

« Je ne perds jamais. Soit je gagne, soit j’apprends »

Les erreurs, les échecs sont une manière de vous faire avancer, d’apprendre. Car les leçons de la vie ne sont pas contenues uniquement dans la réussite. Qui n’est pas tombé en essayant d’apprendre à marcher ou à faire du vélo ?

Il est donc nécessaire de prendre le temps de vous interroger sur les raisons de l’échec. Cela vous éclairera le chemin pour arriver à la réussite.

Comment apprendre de ses erreurs

Tout d’abord, il est important de reconnaître ses erreurs. Car tôt ou tard la vérité ressortira.

Ensuite, ne pas cédez à la peur répétez-vous ce fameux adage « L’erreur est humaine ». Personne n’est parfait et chacun est venu sur terre pour expérimenter. Trop souvent, dans nos sociétés occidentales, nous avons été éduqués à devenir parfaits avec peu de place à l’apprentissage. Face à un échec, alors de vieilles croyances limitantes telles que « je ne suis pas à la hauteur » « je suis rejeté.e » « Je suis nul.le » ressurgissent et s’expriment par la peur. 

Apprendre de ses erreurs c’est aussi accepter la critique. N’hésitez pas à demander aux personnes qui expriment une critique de la formuler de façon constructive.

D’autre part, une des clés pour surmonter ces erreurs est de garder son optimisme. Pour cela, sachez voir toujours le verre à demi plein et restez certain que toute situation peut s’améliorer.

Tirez des leçons de votre expérience

Cela commence par repenser ou écrire la situation vue par vous. Si cette erreur a eu des conséquences sur une ou plusieurs autres personnes, demandez à ces personnes d’exprimer leur vécu selon leur point de vue toujours dans le but de construire et d’apprendre. Plus vous aurez des angles différents de la situation, plus vous aurez des axes de progrès.

A partir de ce recueil, vous pouvez alors identifier tout ce qui aurait pu être modifié. Ensuite, il est important de séparer ce qui est de votre ressort de ce que vous ne pouviez pas contrôler.

De cette liste d’éléments à transformer qu’il s’agisse d’un comportement, d’un acte ou autre, établissez un plan d’actions pour ne plus répéter ses erreurs. Soyez précis sur chacune de vos actions tout en restant flexible. Par exemple, vous vous êtes mis en colère lors d’une réunion (familiale ou professionnelle), vous pouvez décider de vous concentrer sur une respiration profonde à chaque fois que vous sentez monter la colère.

Attention avec la répétition des échecs !

Souvent c’est plus fort que vous et vous répétez sans cesse les mêmes erreurs. Cela provient dans la plupart des cas de circuits neuronaux inscrits dans votre inconscient. Ces schémas ont souvent pris place dans votre plus jeune âge. Ce circuit neuronal se réactive à chaque situation similaire. Comme le flux de cerveau inconscient est plus rapide que votre néocortex analytique, vous réagissez avant de penser aux conséquences. Si par exemple, votre croyance est « je suis nul.le » lors d’un examen, d’un rendez-vous, le stress peut vous bloquer malgré toute la préparation ou toutes vos bonnes intentions. Autre exemple, vous avez eu un père absent ou qui ne s’est guère occupé de vous, votre croyance peut être « je suis rejetée, pas aimée… par mon père, et donc en tant que 1er homme dans votre vie, par les hommes ». Et par conséquent, vous pouvez inconsciemment vous faire rejeter par vos compagnons.

Il est donc judicieux de vous faire aider par un thérapeute pour déprogrammer toutes les croyances, peurs qui vous paralysent la vie. L’hypnose humaniste ou la méthode Decemo sont des méthodes efficaces pour travailler sur l’inconscient et reprogrammer ces croyances.

« Un homme doit être assez grand pour admettre ses erreurs, assez intelligent pour apprendre de celles-ci et assez fort pour les corriger. »

John C. Maxwell

Et en conclusion, n’hésitez pas à regarder la vidéo de « Tout le monde s’en fout » sur les erreurs

L’hypnose, une méthode efficace pour sortir de nos schémas répétitifs

Et si notre vie était dans 95% dirigée par notre inconscient ? Toutes nos programmations, nos schémas, nos croyances sont inscrits dans notre subconscient ou inconscient. Cette sphère d’activité du cerveau agit comme un disque dur. Seules des méthodes comme l’hypnose, l’EMDR, l’EFT sont capables de travailler avec l’inconscient et de déprogrammer nos schémas répétitifs.

Qu’est-ce que l’inconscient ?

C’est le siège de tous nos automatismes. Et il est très utile dans ce sens. Lorsque nous marchons, nous conduisons, nous n’avons pas à mettre de la conscience sur chacun des gestes. Les milliards de neurones reliés entre eux par les synapses se mettent en action.

Notre inconscient est très puissant. Il est capable de traiter 2000 informations par seconde. Il est toujours en activité même lorsque nous dormons. Et heureusement car nous continuons à respirer, à vivre ! Sa principale mission est de nous protéger. Seulement il peut faire des erreurs. Comme un ordinateur, il associe chaque réponse à une situation connue et peut ainsi se tromper sur le degré de menace. Il peut même nous cacher des mémoires pour nous préserver.

Circuit neuronaux schémas répétitifs

C’est dans ce subconscient que sont inscrits toutes les expériences, toutes les pensées et surtout toutes les croyances que nous avons enregistrées dès notre plus jeune âge. Notre inconscient a la mémoire de tout ce qui s’est passé dans notre vie de l’enfance à l’âge actuel, même ce que nous croyons avoir oublié. C’est lui qui pilote notre corps mais aussi nos choix de vie. Ainsi, la plupart de nos comportements, de nos décisions, sont dictés par des mécanismes inconscients.

Si par exemple, vous n’étiez pas attendu.e à la naissance, si vous n’avez pas trouvé votre place dans votre fraterie, dans votre famille, vous allez inscrire dans votre inconscient que vous êtes rejeté.e. Et tout au long de votre vie, des situations de rejet vont se présenter à vous que ce soit au lycée, au travail et même au sein de votre couple.

La conscience ne peut pas agir sur l’inconscient.

« La conscience est créative alors que l’Inconscient ne l’est pas, il est comme une machine. Nous créons seulement 5% de notre vie et 95% de notre vie est composée d’habitudes et de croyances »

Bruce Lipton – Biologie des Croyances

La conscience utilise nos sens. Elle nous permet d’analyser, de raisonner, de réfléchir, d’avoir des pensées logiques.

Dans un état conscient, nous pouvons prendre conscience de soi, de notre existence, de nos comportements et de schémas répétitifs. Nous sommes également conscients du monde qui nous entoure.

Vouloir être heureux.se, en bonne santé, avec des personnes que nous aimons sont des pensées issues de notre conscience. Mais dicter ces pensées à notre inconscient, c’est comme parler devant un ordinateur… rien ne se produira !

L’hypnose une technique efficace pour sortir de nos schémas répétitifs

L’hypnose est une des méthodes qui dans un état de conscience modifiée, agit sur notre état inconscient.

C’est loin de l’hypnose de rue ou de spectacle où nous pouvons être amenés à faire des choses déconcertantes. La spécificité de l’hypnose humaniste est d’être spécialement éveillée pour agir nous-mêmes sur nos propres problèmes.

Le travail se fait à un niveau profond de notre inconscient pour le reprogrammer avec ce que nous souhaitons réellement : être aimé, être plus heureux, … Accompagné par le thérapeute, nous pouvons ainsi transformer nos croyances limitantes et donc nos schémas répétitifs en croyances positives.

Libérer de ses schémas répétitifs

Dépasser vos peurs pour une vie plus sereine

Qu’est-ce que la peur

La peur est une émotion nécessaire à tout être vivant pour l’aider à faire face à un danger réel. Cela permet de mettre notre corps en alerte lorsqu’il y a un danger véritable : un animal prêt à nous attaquer, une voiture qui se dirige droit sur nous, … Il s’agit de peurs réelles.

Cependant une grande majorité des peurs sont irréelles, c’est-à-dire que votre corps réagit face un danger imaginaire.

Ces peurs irréelles peuvent être d’ordre physique (peur de l’avion, peur d’une araignée, peur du noir, …). Et elles peuvent également être d’ordre émotionnel ou mental : peur de l’échec, peur de l’abandon, peur de la critique, peur de s’exprimer avec les autres, peur de l’inconnu ….

En fait, toutes ces peurs proviennent de votre inconscient, véritable disque dur où tout schéma s’inscrit. Elles proviennent de mémoires engrammées liées à des événement passés qui se réactive dans le moment présent. Ce type de peur vous empêche d’être vous-même et de vivre pleinement vos expériences.

Vos croyances

Tout d’abord, il faut avoir conscience que les peurs ne sont dans la plupart des cas qu’une conséquence. Effectivement, les véritables causes de vos peurs sont des croyances dites limitantes.

Une croyance est une pensée racine à laquelle vous croyez comme certaine. Les croyances se construisent dès votre enfance à travers vos parents, vos proches, votre vécu ou suite à une expérience émotionnelle forte.

Voici quelques exemples : Je ne suis pas capable – l’argent, c’est difficile à gagner – C’est trop dur – Je ne suis pas assez bien  – Je n’ai pas ma place – Je n’ai pas de chance – Je ne mérite pas d’être aimé.e – C’est trop tard pour me changer – Je dois être parfait.e pour être aimé.e ect. …

Vos croyances vous manipulent : elles sont de véritables freins à votre épanouissement car vous vous êtes habitués à elles. Chaque croyance est identifiée dans le cerveau par un circuit neuronal… des neurones reliés entre eux par des synapses. A toute situation proche de votre expérience vécue, ce réseau neuronal s’active. Par exemple, si vous avez programmé dans votre inconscient que vous étiez incapable, à chaque situation telle qu’un examen, un entretien d’embauche, votre circuit se réactive et vous perdez votre contrôle.

Déprogrammer vos croyances erronées pour dépasser vos

Tout d’abord en examinant la croyance et ses racines, vous allez vous apercevoir que chaque croyance n’est donc qu’une simple hypothèse, mais pas la vérité. D’ailleurs, vous pouvez souvent trouver dans votre vie des exemples où la croyance ne s’est pas avérée vraie.

Dès que vous comprenez que cette croyance n’est pas la vérité, elle perd son pouvoir et cesse d’alimenter la peur.

Faut-il encore identifier ses croyances. Et oui, elles vont tellement partie de votre vie que vous  en êtes pas toujours conscient.

Voici les 4 étapes pour déprogrammer vos croyances limitantes

  1. Reconnaître et examiner chacune de vos croyances. Vous pouvez identifier vos peurs et chercher la racine de cette peur. vous pouvez également demander à votre entourage proche bienveillant.
  2. Arrêter de vous identifier à elles.
  3. Trouver une situation où la croyance s’est révélée erronée. Essayez alors de comprendre ce qui s’est passé pour découvrir notre croyance ressource.
  4. Prouver le contraire par de petites actions.

Vous pouvez vous faire aider par un thérapeute notamment lorsque la croyance ou la peur empoisonne vraiment votre vie. En effet, des méthodes telles que l’hypnose, la méthode Décémo, la méthode des 2 points agissent directement sur l’inconscient. Ce sont des techniques efficaces de déprogrammation.

En conclusion, il est important de se rappeler que l’opposé de l’Amour n’est pas la haine mais la peur. Si vous souhaitez avoir une vie plus sereine, vivre dans l’amour, l’amour de soi tout comme l’amour des autres, il est nécessaire vous libérer de vos peurs, vos croyances.

Pour en savoir plus, venez à la conférence le 17 novembre à la Maison des Associations à Grenoble – Entrée gratuite

Dépasser ses peurs pour une vie plus épanouie

Qui gère notre vie : l’inconscient ou la conscience

Nous avons  souvent l’impression de subir le flux de notre mental, d’agir à partir de l’inconscient. Alors que parfois nous avons le sentiment d’être acteur de notre vie, d’agir en conscience.

Le cerveau humain est extraordinaire !

C’est dans le cerveau que s’entremêlent conscience et inconscient. Voici quelques chiffres pour illustrer ce propos :

  • Nous avons environ 60 000 pensées par jour, soit une pensée/seconde
  • Nous naissons avec 100 milliards de neurones
  • Si on mettait bout à bout chaque fibre de votre cerveau, on aurait un fil de 180 000 km de long
  • L’information circule à 430 km/h
  • Le cerveau reçoit 40 millions d’information à la seconde traité par l’inconscient.

Notre cerveau inconscient est plus rapide et puissant que notre cerveau conscient, d’où son pouvoir sur notre vie !

Circuit neuronaux  - Image de Colin Behrens de Pixabay

Qu’est-ce que l’inconscient par rapport à la conscience ?

Si nous comparons l’inconscient à un iceberg, l’inconscient serait la partie immergée alors que le conscient est la partie visible au-dessus de l’eau. Autant dire qu’en moyenne, nous n’avons conscience que de 5 à 10%, le reste étant régi par l’inconscient.

L’inconscient pourrait être également assimilé à un système d’exploitation d’un ordinateur tel que Windows, Mac Os ou Android. Le corps serait alors le hardware. Il réagit aux ordres donnés par notre partie inconsciente. Nous n’avons pas conscience de déplacer nos muscles et nos pieds lorsque nous marchons ni de monter la fourchette à notre bouche pendant un repas. Ce sont des automatismes.

La partie inconsciente de notre cerveau reçoit, analyse et stocke des millions d’informations. Elle garde en mémoire tout notre histoire de vie depuis notre conception même ce que nous croyons avoir oublié, tel un puissant disque dur.

Quel est le rôle de l’inconscient ?

Son principal rôle est de nous protéger en assimilant la situation présente avec notre vécu. L’inconscient trouve des solutions pour assurer notre survie.

Pour cela, il nous permet d’oublier nos peurs, nos souffrances, nos blessures. Cependant, elles sont toujours présentes. Ce sont ces peurs, ces blessures, ces croyances limitantes qui provoquent dans notre vie des blocages.

Pour illustrer ce propos, prenons l’exemple d’un père qui était violent avec sa fille. Dans l’inconscient de cette fille, il est inscrit que l’homme (le 1er homme de sa vie est souvent son père) est dangereux ou violent ou tout simplement que l’amour s’exprime par la violence. Et cette fille devenue femme va vivre une vie de couple difficile.

Il est possible de retrouver cette mémoire oubliée en état d’hypnose pour mieux comprendre et résoudre notre problématique.

Cependant sans travail sur soi, notre vie est dirigée principalement par notre partie inconsciente. Ainsi, nous agissons ou prenons nos décisions dans la plupart des cas sans réfléchir.

Comment réduire la puissance de notre inconscient  pour plus de conscience ?

Tout simplement en donnant plus d’importance à notre cerveau conscient qui ne gère que 5% de nos actions, nos décisions … notre vie. La conscience est la faculté à se percevoir soi-même et à se reconnaître dans ses pensées et ses actions.

La conscience est créative, nous permet d’aller vers du nouveau alors que l’inconscient ne fait que répéter croyances et habitudes.

Apprendre à mieux se connaître de soi amène à prendre conscience de la partie immergée de l’iceberg psychique. En effet, cette prise de recul permet d’identifier et de mieux comprendre l’origine de nos schémas, de nos réactions, de nos impulsions ou encore de nos peurs.

La phase suivante pour empêcher notre cerveau inconscient de répéter les mêmes schémas est de les déprogrammer. Des méthodes comme l’hypnose humaniste, l’EMDR (ou la méthode DECEMO), l’EFT, la PNL travaillent directement avec l’inconscient et s’avèrent donc être d’efficaces outils de déprogrammation.

Conclusion

Les mécanismes inconscients agissent dans la plupart de nos comportements, choix, décisions. Et nous ne pouvons pas contrôler cet inconscient.

En revanche, en prenant conscience de nos blocages, nos peurs et en les déprogrammant, en vivant plus au moment présent, nous donnons une part plus grande à notre conscient. Ainsi en étant délestés de nos schémas répétitifs, présents à chaque minute sans penser au passé ou au futur, nous vivons une vie plus épanouie !

La peur ou l’amour

Nous vivons dans un monde gouverné par la peur

Aujourd’hui dans cette crise sanitaire, nous sommes conduits par les peurs, la peur d’être malade, de transmettre une maladie à nos proches et surtout celle de mourir.

Cette peur est entretenu par les médias qui au lieu de nous apporter un peu d’optimisme, de lumière, nous abreuvent de chiffres de cas confirmés Covid-19 lorsque le nombre de morts est faible à l’échelle d’un pays de 65 millions d’habitants.

Comme le disait Nicolas Machiavel, « Celui qui contrôle la Peur des gens devient le maître de leurs âmes ».

En plus de cette peur communiquée à une échelle planétaire, nous avons tous nos propres peurs. Elles sont souvent irréelles et sont issus du réseau de croyances que nous avons tissé depuis notre plus jeune enfance. Qui n’a pas eu des peurs telles que celles de ne pas être aimé, de ne pas être à la hauteur ou encore d’être rejeté, d’être abandonné ? Toutes ces peurs émanent d’expériences vécues dès notre venue dans ce monde. Elles se transforment en croyances et deviennent notre réalité.

Or nous savons que selon la loi d’attraction, vivre dans ce sentiment de peur n’attire que des événements ou des faits qui vont valider notre croyance. Cela attise le négatif, les angoisses, les doutes.   

L’amour : une clé pour sortir de cette négativité

Le contraire de l’amour n’est pas la haine. La haine n’est qu’un amour mal vécu, le véritable contraire de l’amour est donc la peur. Comme le dit le sage Osho

« L’amour chasse la peur, la peur chasse l’amour »

Donc une solution pour ne plus être dans la mélasse de la peur serait de réveiller notre force d’amour. Cela commence par l’amour de soi. Un des principaux problèmes de notre société est le manque d’amour pour soi. Bien sûr, il ne s’agit pas de l’amour égotique, de l’orgueil qui ne fait que cacher des peurs. Mais un amour véritable et profond pour soi.

Et ce profond sentiment d’amour alors peut déborder pour toucher nos proches et tout notre environnement. Alors ouvrons nos cœurs et faisons répandre cet effluve d’amour en soi et autour de soi. Car la peur nous fait souffrir, l’amour nous apporte la joie.

Concrètement à chaque fois que vous ressentez de la peur vous envahir, concentrez-vous sur votre cœur. Faites émaner petit à petit cet amour, visualisez un être que vous aimez, sentez ce flux sortir de votre poitrine. Et si cet exercice est encore difficile pour vous, respirez pendant 5 minutes au rythme de la cohérence cardiaque (5 secondes en inspirant de manière fluide  et 5 secondes en expirant)

« Guérir c’est toucher avec de l’amour ce qui a été précédemment touché avec de la peur » Stephen Levine

Changer de vie … est-ce possible

Vous n’êtes pas complètement épanouie dans votre vie, vous souhaitez changer de vie ou au moins un de ses aspects. Alors dites-vous que oui, c’est possible.

Osez changer ! Ne faites pas comme beaucoup de personnes qui se plaignent, qui subissent leur vie au lieu de la prendre en main ou encore qui attendent que le changement arrive par miracle. Rappelez-vous que selon des sondages auprès de personnes en fin de vie, leur principal regret est de ne pas avoir fait ce qu’elles auraient souhaité. Alors offrez-vous une vie épanouissante que vous aurez plaisir à raconter à vos petits-enfants ou à votre entourage. Donnez-vous pour objectif de quitter cette incarnation sans regret.

Alors comment oser changer de vie 

Tout d’abord commencez par vous fixer un objectif à un an, 2 ans et même 10 ans. Inscrivez cet objectif dans un cahier. Posez-vous les questions : Où voulez-vous être ? Que souhaitez-vous faire ? Et vous pouvez détailler les réponses par ce qui est appelé en coaching, domaine de vie. Les principaux domaines de vie sont : soi, le couple, la famille-amis, le travail, le social-les copains.

Pour chaque domaine de vie, écrivez ce que vous souhaitez au plus profond de vous, lâchez-vous, rêvez, osez ! Ainsi, vous semez des graines.

Changer de vie

La 2ème étape est de comprendre pourquoi vous en êtes arrivé là.

Pour essayer de mieux comprendre votre situation, n’hésitez pas à liste dans votre cahier tout ce qui ne vous convient plus. Et en parallèle notez les circonstances qui vous ont amené là.

D’autre part, il est important de mettre en conscience toutes vos croyances dites limitantes. Ce sont des croyances qui souvent ont pris racine dès votre plus jeune âge et qui sont profondément ancrées dans votre inconscient. Pour mieux identifier vos croyances, faites une liste de toutes vos peurs : peur de ne pas être à la hauteur, peur d’être abandonné, peur de manquer d’argent, peur de la mort, peur d’être jugé, …. Car chaque peur n’est que la conséquence d’une croyance limitante. Et pour ce travail important, faites-vous aider soit par des amis proches ou un thérapeute.

Avant de vous lancer dans un grand changement, transmutez ces croyances soit en « jouant » la croyance inverse pour l’inscrire dans votre inconscient, soit en utilisant des thérapies qui vont déprogrammer ces schémas directement dans votre inconscient. Des thérapies telles que l’hypnose, la méthode des 2 points, l’EFT, … se sont avérées efficaces.

Commencez par de petits pas

La méthode Kaizen est une approche progressive par petits pas.

Le principal obstacle du changement est l’ego. Il se complaît dans les schémas inconscients qui ne cessent de se répéter, dans la souffrance.  En effet, il ne souhaite pas changer pour continuer à contrôler, à être le maître de votre vie.

En commençant par de petits pas, votre égo ne réagira pas en créant avec son ami le mental, des peurs irréelles. Vous avez peur de ne pas être à la hauteur, faites quelque chose qui vous semble facilement atteignable comme réussir un repas entre amis. Puis n’oubliez pas de vous féliciter !

Donc il suffit de créer dans votre cahier de petits challenges. Challenges qui bien-sûr, iront à chaque fois un peu plus loin.

Utilisez votre pouvoir créateur

Vous détenez le puissant pouvoir de créer par la pensée. Alors programmez chaque étape vers votre objectif en remerciant pour la réalisation parfaite de cette étape. Et visualisez l’étape réussie.

Grâce à votre pensée créatrice, vous allez attirer les situations désirées. Cela se résume à la loi d’attraction : « tout semblable attire son semblable ».

Vie épanouie